Festival Péril Jeune!

Présentation

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7° Edition - Créé en 2008

Pour la septième année consécutive, Confluences propose avec le festival Péril Jeune! un moment dédié aux jeunes compagnies et artistes en devenir.

Fort du succès des dernières éditions et de nombreux partenariats (la Mairie de Paris, la Mairie du 20ème arrondissement de Paris, la Région Île-de-France, la DRAC Île-de-France, le Ministère de la Culture, Art Azoï, Kiblind, la Compagnie Sambre, le 6B, la Compagnie La Mangrove, le Forum des images, la Maison Antoine Vitez, le réseau Actes If, l’Alliance française, H/F Île-de-France, Micadanses, le Parc de la Villette, l’IESA, l’Ecole Aberratio...) Péril Jeune! revient pour la 7ème année consécutive.

L’objectif de ces rencontres est de permettre aux compagnies émergentes de développer leurs projets artistiques (spectacle, maquette, étape de création ou lecture) dans des conditions techniques et logistiques professionnelles, de bénéficier d’espaces de répétitions, de rencontrer un public passionné et de nombreux-ses professionnel-le-s.

Pendant plus de deux mois, Confluences présente un véritable panorama de la jeune création. L’occasion de découvrir 31 propositions artistiques portées par de jeunes équipes, collectifs, autrices, auteurs, metteurse-s en scène, comédien-ne-s, danseur-se-s, performeuse-s, écrivain-ne-s, réalisateur-trice-s, plasticien-ne-s, musicien-ne-s,... Les projets sont sélectionnés, à parité hommes-femmes, après un appel à candidatures, par un comité artistique constitué d’une vingtaine d’artistes et professionnel-le-s reconnu-e-s.

Ainsi, le festival Péril Jeune! constitue-t-il dans le paysage parisien un véritable espace des possibles, ouvert à tou/te/s celles et ceux qui désirent se lancer dans l’aventure de la création scénique, comme à tou-te-s les spectateur-trice-s curieu-ses-x des formes artistiques de demain.

Le 4 décembre prochain aura lieu la soirée de clôture du festival, précédée à 18h d'une rencontre-débat organisée par Carole Thibaut. Une question guidera en filigrane cette rencontre: la “jeune création“ fait-elle souffler un vent de liberté sur les arts de la scène, rejetant les normes et les formatages auxquels les artistes confirmé-e-s répondent souvent plus ou moins inconsciemment pour exister dans le circuit professionnel? Ou bien au contraire n’est-elle, par une quête vitale de reconnaissance, qu’une utilisation poussée à l’extrême de tous les codes et postures esthétiques dictés par le milieu professionnel, dont l’artiste devra, pour devenir lui-même, apprendre à s’affranchir?