FESTIVAL « LA MUSICA IN AUDACIA » au CHATEAU ROYAL D’AMBOISE

Présentation

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3 ° Edition - Créé en 2019

Après le succès 2ème édition, le festival « LA MUSICA IN AUDACIA » mêle les arts et leurs associe des univers musicaux éclectiques.


A l’occasion des trois premiers week-ends du mois d’août, le festival « La Musica in Audacia Â» mêle les arts et leurs associe des univers musicaux éclectiques :
Le jazz rock de Chick Corea, la douceur de Scarlatti, les mélodies Ibériques de Falla et Granados, l’impressionnisme de Ravel et les harmonies de Debussy.
 
Ces spectacles sont donnés en plein air, dans le cadre de la cour d’honneur du château.
La singularité de cette programmation est d’associer la musique à d’autres formes de créations : dressage équestre, peinture, mime et spectacle d’oiseaux. Vous pourrez apprécier la beauté de ces prestations artistiques vivantes, visuelles, poétiques et majestueuses. Les jeunes talents de la région Centre Val de Loire seront à l’honneur et se produiront en première partie de chaque concert.
Les concerts sont programmés les 7, 8, 14, 15, 21 et 22 août 2021 à 18h00.

 

Line-up

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Ludovic de Preissac :
Issu d’une famille de musiciens, Ludovic de Preissac s’initie au jazz à 15 ans en autodidacte et complète sa formation musicale au Lycée de Sèvres (B.T. des Métiers de la Musique) avant de devenir, dès l’âge de 20 ans, pianiste de jazz. Il commence alors l'aventure en parcourant l’Europe en tant que pianiste sur le fameux train « l’Orient-Express ». Il est ensuite sollicité par des musiciens de jazz classique, comme son père le clarinettiste Philippe de Preissac, ou bien Maxime Saury, Stéphane Guérault.
À 26 ans Ludovic lance son trio et développe un langage plus moderne (lauréat « Jazz à La Défense » et Concours International de Monaco). Ce trio, influencé par ceux des pianistes Oscar Peterson et Michel Petrucciani, puise son répertoire dans la relecture des grands standards américains. Sollicité pour accompagner différents solistes, ce trio illustre, dans un contexte plus pédagogique (master-class, stages), toute l’histoire du piano-jazz (la première partie est présentée en piano solo).
Le Quintet : L’adjonction de la trompette et du saxophone offre un champ élargi pour la composition et l’arrangement. Tout d’abord inspiré par les quintets légendaires américains des années 50/60 (Horace Silver, Art Blakey et les Jazz Messengers), un répertoire original et un « son » imposent ce quintet comme l’un des meilleurs en France. Au service d’un jazz dynamique qui favorise autant l’interprétation que la présence scénique, ce quintet offre sur scène une prestation jubilatoire. Les nouvelles compositions trouvent leur pleine mesure et prolongent l’esthétique déjà présente au sein du trio. Les climats originaux, tant rythmiques qu’harmoniques, contribuent à singulariser cette formation.
Le Sept « Têtes » : En restituant le « son » unique du bigband, véritable « Rolls-Royce » des formations de jazz, cet ensemble, grâce à des arrangements réduits, offre aussi la dynamique d’un grand orchestre. Ce septet propose un large répertoire : « West Side Suite » : arrangé et réorchestré à partir de la version mythique du pianiste Oscar Peterson, une Suite « descriptive » où chaque musicien est mis tour à tour en valeur ; « Blue Bird » : une relecture de l’œuvre géniale du saxophoniste Charlie Parker (Ko-Ko, Billie’s Bounce...) ; Compositions originales et arrangements ; Amérique du jazz en chansons : les plus grands standards chantés et réarrangés. (Ray Charles, Franck Sinatra, George Benson, etc. …)
 
Alexis Valet :
Alexis Valet est un vibraphoniste diplômé du Conservatoire de Bordeaux. Il remporte avec son sextet le tremplin Action Jazz en janvier 2016 avant de s'installer dans la capitale où il suit au Pôle Supérieur de Paris les cours de Stéphane Kerecki, Bojan Z et Emile Spanyi.
Alexis devient très vite un musicien hyperactif de la scène parisienne, et enregistre 2 EP avec les groupes King of Panda (2017) et La Cinquième roue (2018).
Il devient sideman dans les groupes Pitakpi (Xavier Belin, Tilo Bertholo & Elvin Bironien), Shauli Einav Quintet (Bastien Ballaz, Yoni Zelnik, Guilhem Flouzat), Maher Beauroy Quintet (avec notamment Michel Alibo et Robin Anthunes) et Joachim Govin Sextet. Il devient vite un habitué de la rue des Lombards et des clubs parisiens où il se produit fréquemment : Duc des Lombards, Sunside, Baiser Salé, la Petite Halle de la Villette, le Nubia, Le Génie sous les Etoiles...
Au printemps 2018, Alexis Valet décide de monter son quintet dans l'optique d'enregistrer son premier album de composition. Il appelle immédiatement son pianiste fétiche et ami Simon Chivallon et entreprend de faire quelques sessions pour tester différentes rythmiques. Le coup de cœur ne tarde pas, il jette son dévolu sur Stéphane Adsuar et Damien Varaillon (duo ayant joué avec Logan Richardson, Magic Malik, Fred Borey, Hermon Mehari...). Lors d'un concert au Baiser Salé, Alexis rencontre Adrien Sanchez, tombe sous le charme de sa musicalité et décide de l'intégrer au projet. Le groupe enregistre son premier disque au studio Meudon, avec trois invités de choix, des musiciens qui l'inspirent et pour qui il compose deux morceaux chacun : Magic Malik, Romain Pilon et Hermon Mehari.
 
Florence Gréco Dufier :
Florence Gréco Dufier est née en 1972, vit, travaille et enseigne à Paris.
Après des études scientifiques, elle est diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2002. Entre artiste conceptuelle et artisan de la peinture, elle s’intéresse à l’idée de l’éphémère d’un regard, de son mouvement. Sa peinture mi-abstraite mi-figurative allie portraits, natures urbaines, paysages aux couleurs insolites. Primée au Salon d’Art Contemporain de Montrouge en 2003, elle a été sélectionnée pour de nombreux prix de peinture et de dessin (Prix Pierre David-Weill à l’Institut de France 2000 et 2001, Prix Jules Raeymakers à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles en 2005, sélection Casa Velasquez 2005).
 
Adeline de Preissac :
Adeline de Preissac étudie la harpe au conservatoire de Rueil-Malmaison avec Gérard Devos, où elle obtient un premier prix à l’unanimité avec félicitations puis elle entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Marie-Claire Jamet et y obtient un premier prix.
Elle poursuit sa formation à la Musikhochschule de Zurich dans la classe de Catherine Michel ; le diplôme de concert lui sera décerné.
Dès lors Adeline de Preissac commence une carrière de soliste, avec orchestre, mais aussi en musique de chambre. De 2001 à 2005 elle est membre de l’ensemble « Carpe Diem » et se produira dans de nombreux festivals (prom’s à Londres, festival bayer en Allemagne, festival d’Auvers sur Oise,…).Elle joue en soliste avec l’orchestre de la Camerata de Versailles, de la côte saint-André, le quatuor Rosamonde (aux Moments Musicaux de Touraine) et en tant que harpe solo au sein des grands orchestres nationaux  ( capitole de Toulouse, opéra de Paris, l’orchestre révolutionnaire et romantique,  Pays de Loire) sous la direction de James Conlon, Sir J.E.Gardinner, Alain lombard, Tugan Sokiev...
En 2003 Adeline de Preissac est reçue au certificat d’aptitude à l’enseignement dans les conservatoires.
Elle est professeur de harpe au conservatoire de Tours.
Elle est directrice artistique du festival « 37° à l’ombre » et « la Musique au temps des rois » au château d’Amboise.
En 2013 et 2014, elle organise et participe à « l’essentiel de Scarlatti » au musée des Beaux-arts de Tours, proposant des master classes et récitals avec Pierre Hantai et Violaine Cochard.
 
Carlos Pereira : écuyer
Carlos Henriques Pereira est économiste, enseignant chercheur en étho-linguistique, historien de l'art équestre et maître de conférences à Paris III Sorbonne Nouvelle, en « relation homme-animal Â». Il est par ailleurs écuyer dirigeant de l’Agence Hippique Cavalgador spécialisée dans les prestations équestres et la formation professionnelle d’enseignants d’équitation de tradition portugaise et président de l'Institut du cheval.
Carlos Henriques Pereira est né en 1967 à Vila Franca de Xira dans la banlieue de Lisbonne au Portugal. À l'âge de 3 ans, il découvre le monde équestre lusitanien et tauromachique avec son grand-père, José Henriques Lima « Zé da Vila Â», Torero (Cabo de Forcados), acteur cascadeur ayant joué aux côtés de Jack Hawkins et Joan Collins dans la Terre des Pharaons produit par la Warner Bros en 1954. Reçu en école préparatoire au lycée Janson-de-Sailly, il opte finalement pour l'université Paris Dauphine et obtient une maîtrise de gestion option finance et contrôle de gestion (promotion 1986/1990). Passionné par l'art équestre, il quitte la banque momentanément et devient cavalier artiste au Musée Vivant du Cheval de Chantilly sous la direction de Yves Bienaimé. En 1994, il coécrit le spectacle du Musée intitulé « Histoire et Art équestre portugais Â» et réussi à faire venir pour la première fois en France l'école portugaise d'art équestre de Lisbonne avec le soutien d'Yves Bienaimé. Parrainé par Jacqueline Reverdy, première présidente de la  Fédération Française d'Equitation et par Maria Isabel Barreno, écrivaine portugaise et conseillère culturelle à l'Ambassade du Portugal à Paris, il crée l'Institut du Cheval et de l'équitation portugaise (2004), association membre de l'Escola Nacional de Equitação à Lisbonne et devient le président de la commission « Ã©quitation portugaise Â» à la FFE de 2000 à 2004 devenant le fondateur de cette discipline en France.
En parallèle à sa carrière d'écuyer, il obtient son doctorat mention « Ã©tudes lusophones Â» sous la direction du professeure Anne Marie Quint à La Sorbonne Nouvelle Paris III (2002). Enseignant chercheur à Paris III, membre du CREPAL, il enseigne l'économie des pays de langue portugaise et la stratégie marketing au CNAM. Il est nommé Maître de Conférences à Paris III Sorbonne Nouvelle en 2015. Ses axes de recherche portent sur la relation homme/animal.
Passionné par le développement de l'équitation, il met en place des ateliers pédagogiques « cirque équestre Â» dans les principales villes de Banlieue du 93. L'objectif étant de faire découvrir aux enfants des quartiers difficiles une autre facette du cheval et du poney. Carlos Pereira, est devenu consultant de plusieurs organismes équestres français depuis 2002, date de création de son entreprise de Conseil hippique : PMU, FFE, AFASEC, Haras Nationaux, École Nationale d'Équitation. 
Pour valoriser les races équines européennes, il fonde l'association française du poney Garrano et écrit un ouvrage sur les origines du Baudet du Poitou et de l'âne de Miranda. Avec la chercheure Jocelyne Porcher, il fonde l'Institut Vivre avec les Animaux et organise une exposition sur l'animal pour la ville d'Aulnay – sous - Bois et le Conseil Général de Seine Saint Denis. Il est l'actuel président de l'Institut du cheval et de l'équitation portugaise. Il travaille régulièrement avec l'Asinerie du Baudet du Poitou. En 2015, il s'associe à Isabelle Oliveira, directrice du département LEA à Paris III Sorbonne Nouvelle.
 
Jérémy Pasquier :
Nommé Révélation Classique Adami et Lauréat de la Fondation d'entreprise Banque Populaire en 2008, Jérémy Pasquier s'est formé auprès de Sabine Toutain au CNSM de Paris.
Il a participé à de nombreux festivals, Pablo Casals à Prades, Radio France Montpellier, Clairvaux, Jeunes Talents, les musicales de Bagatelle, ou encore le festival Musiques au cloître à Nîmes, où il a rencontré des artistes tels que Jean-Bernard Pommier, Claire Désert, Emmanuel Strosser, Roland Pidoux et Philippe Muller.
Il a également joué avec Julien Szulman, François Dumont, Pierre Chalmeau, Sietse-Jan Weijenberg, Ji-Yoon Park, David Galoustov, ou encore le flûtiste Matthieu Gauci Ancelin.
Il s'est produit en soliste dans la symphonie concertante de Mozart, dans le concerto de Bélà Bartòk, sous la direction de Pierre-Michel Durand mais également dans le Lachrymae de Britten à la salle Pleyel, dans le cadre des concerts des Jeunes interprètes.
Pour la radio, Gaëlle Le Gallic lui a consacré une émission "Dans la Cour des Grands" diffusée sur France Musique où il s'est associé à la pianiste Paloma Kouider, la violoniste Elsa Grether et le clarinettiste Olivier Patey. Parallèlement à ses activités de trio (trio Jacob), il intègre l'Orchestre Philharmonique de Paris en 2010.
Il joue un alto de Pietro Giovanni Mantegazza fait à Milan en 1796.
 
Anne-Sophie Neves :
Anne-Sophie Neves commence l’étude de la flûte traversière dès l’âge de 8 ans. Après s’être formée auprès d’Anne Giquet et de Marc Honorat, elle poursuit ses études au Conservatoire à rayonnement régional de Boulogne-Billancourt avec Céline Nessi et à celui de Paris dans la classe de Claude Lefebvre. Elle obtient plusieurs prix de flûte traversière et se perfectionne auprès de Michel Moraguès. Elle décide de se spécialiser en piccolo, qu’elle étudie notamment auprès de Pierre Dumail. Dès 2005, Anne-Sophie Neves obtient son diplôme d’état de professeur de flûte et commence à enseigner la flûte traversière au Conservatoire Mozart de la Ville de Paris. Depuis cette rentrée, elle enseigne aussi le piccolo.
En 2007, Anne-Sophie Neves est nommée piccolo solo de l’Orchestre des Concerts Pasdeloup.
En 2014, elle réussit le concours de piccolo solo de l’Orchestre philharmonique de Radio France.
Avant d’intégrer l’Orchestre philharmonique de Radio France, Anne-Sophie Neves s’est produite au sein de formations telles que l’Orchestre symphonique Région Centre-Tours, l’Orchestre national de France, l’Orchestre philharmonique de Strasbourg et l’Orchestre de l’Opéra de Paris.
Elle a participé à de nombreux festivals – Pontlevoy, Saint-Riquier, Agora, La Côte Saint-André, La Folle Journée de Nantes, Radio France Occitanie Montpellier, Les Chorégies d’Orange... Lors de tournées à l’étranger, Anne-Sophie Neves a été amenée à jouer en orchestre, notamment au Concertgebouw d’Amsterdam sous la direction de Bernard Haitink, au Musikverein et au Konzerthaus de Vienne, à la Philharmonie de Berlin, à la Philharmonie de Cologne, à la Philharmonie Gasteig de Munich, au Conservatoire Tchaïkovski à Moscou, ainsi qu’en Corée du Sud et en Chine sous la direction de Myung Whun Chung et sous celle de Mikko Franck.
 
Philippe Pilavoine :
Philippe Pillavoine est né en 1973. Il a été formé à l'école Internationale de Mimodrame de Paris - MARCEL MARCEAU de 1993 à 1996 et co-fonde la compagnie « Le Bateau Ivre ». Puis il joue dans la compagnie d’Harcourt de Jean Canolle. A partir de 1996, il joue principalement seul en scène La Crosse en l’Air de Jacques Prévert, Les Enfants du Soleil, Ariane ou l’Âge d’Or et Jours de Colère de Philippe Caubère. Il met également en scène Anne-Marie Laussat dans Strip-Tease de Dino Buzzati et Les Souffleurs de Dino Buzzati. En 1999 il part pratiquer le Théâtre Gestuel au Japon. En 2000, il fait sa première apparition télévisuelle sur M6 pour Télé Z sous la direction Marc Boyer et joue dans de nombreuses publicités pour Nissan, Gmf, la Sncf, Porsche, Virgin, ... Il est l’auteur en co-écriture et l’acteur également de : Le Pays de Mère Nature, spectacle de Mime pour Jeune Public et Le Duo Choc De Mime.
En 2003 2004 il écrit Solomima, spectacle de Mime pour tout public. Il étudie alors la Commedia dell Arte avec Mario Gonzalez. Puis Il travaille en tant que mime pour Jean-Michel Jarre et participe à son concert à Pékin. En 2006, il écrit et joue dans L’île du trésor oublié, spectacle de Commedia dell Arte pour Jeune Public. En 2007, il tourne dans la série SCALP réalisée par Xavier Durringer et Jean-Marc Brondolo pour Canal +.
Et en 2008, il participe au film d’Amnesty International pour la cause des femmes battues réalisé par Olivier Dahan et Joue l’Homme Statue dans Micmacs à tire-larigot de Jean-Pierre Jeunet.
 
Hélène de Vallombreuse :
Numéro de Trapèze et Perroquet : Là-haut, sur la barre d'un trapèze fixé par deux cordes légères la ravissante Hélène se balance lentement dans l'espace, ses longs cheveux châtains flottant derrière elle. Perché sur le même trapèze, un perroquet suit, complice, les évolutions aériennes de l'acrobate. Un étonnant duo aérien entre une trapéziste et son perroquet…A la seconde même où ils se retrouvent là-haut, jouant lentement du trapèze comme d’une aile, ils semblent recueillir toute la tendresse du monde. Unique en son genre, ce pas de deux entre une acrobate et son perroquet est né d’une tentation partagée d’esquiver le monde des mortels… Un univers onirique et ensorcelant…"Quand les arts du cirque riment avec excellence et poésie".
Numéro de magie visuel, musical et animalier : Avec ce numéro exceptionnel Hélène De Vallombreuse nous fait revivre toute l’émotion et la magie de la plus célèbre illusionniste du cinéma Mary Poppins. Une attraction musicale avec la complicité de son perroquet et de son chat. De son traditionnel sac, la magicienne qui campe le rôle de la célèbre Nounou Mary Poppins produit de nombreux tours de magie pour l'émerveillement du public. Un numéro tout en poésie parfaitement cadencé sur la musique. 
"Il y a chez elle, comme une envie de déployer ses ailes" : Hélène de Vallombreuse est une des rares personnes autorisées à travailler avec ces oiseaux désormais protégés. Avec ses perroquets, elle est appelée sur de nombreux plateaux de tournage, pour le cinéma et des publicités. Sa méthodologie et sa philosophie de travail avec les perroquets, lui confèrent une solide réputation auprès de réalisateurs et metteurs en scène. Elle est en compagnie de ses amis à plumes, très appréciée pour sa capacité d'adaptation, malgré l'environnement souvent perturbant des plateaux, afin d'obtenir en douceur le meilleur de ses oiseaux.

Hélène de Vallombreuse nous parle de ses protégés :"Leur dressage a demandé de longs entraînements. Avec le temps, j'ai appris à les connaître et à les apprécier. Ce sont des êtres exclusifs et passionnés. Au début, je n'imaginais pas parvenir à faire un numéro aérien avec eux. Ils étaient sauvages. Mais à force d'écoute et de patience, j'ai réussi à établir une relation privilégiée. Le courant passe, et c'est magique."