Alors cette 20ème édition de Marsatac c'était comment ? Répond à l'étude et tente de gagner ton sésame pour la 21ème édition les 14, 15 et 16 Juin 2019 ! 

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSenwl7vYnsz_S3WNoz1HUhX20isKKUPvNo99X_iOqGhGUAyEw/viewform 

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Source : Association Orane  Nicolas

L'une des plus belles plumes à punchline pour ouvrir l'affiche de cette 21° édition, quoi de mieux ! Marsatac est fier d'annoncer Orelsan à l'affiche du festival en juin prochain. 
Orel est un habitué du Festival. 7 ans après sa première venue au festival en 2012, puis en 2014 avec les Casseurs Flowters, notre caennais préféré sera sans aucun doute l'un des moments forts de Marsatac en 2019. 


Orelsan ce sera le samedi 15 juin 2019.

Les billets Early sont en vente ! 

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Source : Association Orane  Nicolas

3 nouveaux artistes rejoignent l'affiche de Marsatac 2019


Marsatac passe la seconde et annonce la venue de trois nouveaux artistes en juin prochain. Vitalic qui renoue avec son alias originel DIMA et sa techno underground. 
Jon Hopkins, tête de pont de la scène électronique anglaise entre techno brute et sonorités aériennes. Et Cabalerro & Jeanjass le duo incontournable le plus délirant du rap belge. 3 bonnes raisons de ne pas louper Marsatac en 2019 ! 


Je réserve : https://www.marsatac.com/billetterie/

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Source : Association Orane  Nicolas

Marsatac est heureux d'accueillir de nouveau le projet des cousins Guillaume et Jonathan Alric, The Blaze.
Il y a deux ans le duo avait choisi Marsatac pour sa première!re scène live et ne s'était pas trompé.  Après avoir parcouru les plus grands festivals de la planète, ils reviendront enchanter les scènes de Marsatac. 


The Blaze ce sera le vendredi 14 juin 2019

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Source : Association Orane  Pierre

La 21ème Ã©dition de Marsatac se déroulera à Marseille les 14, 15 et 16 juin prochains. Au programme de 2019 sont annoncés Orelsan, The Blaze, Dima Aka Vitalic, Cabarello & Jean Jass et également Jon Hopkins. C’est désormais Eddy de Pretto, auteur-compositeur-interprète français qui vient enrichir l’affiche.

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Source : Association Orane  Laure

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 [2018-07-18] Source : Youtube  

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 [2019-02-26] Source : Youtube  

Quatre roues. Une carrosserie flashy. Des jantes luisantes. Du orange, du bleu. Ça brille, ça claque. Immatriculation : MR-021-ST. L’objet-totem du Marsatac 2019 en a sous le capot. Une vraie pièce de musée, une voiture façon retour vers le futur. Du temps, si loin, si proche, où l’on croyait que la bagnole au pétrole, c’était pour toujours. Une 205 de 1986, pimpée comme jamais, qui déboule au Parc Chanot les 14, 15 et 16 juin pour vrombir au cÅ“ur d’un Marsatac version tuning. Au volant, quatre nanas : elles mettent les mains dans le cambouis et poussent le moteur dans le rouge. Cette année, d’ailleurs, les femmes représentent la moitié de la programmation. Du sound system planqué dans la plage arrière s’échappe du lourd. Un son cohérent où se mêlent noms rassembleurs : le trait sensible d’Eddy de Pretto, les boucles envoûtantes de The Blaze, le verbe au cordeau d’Orelsan, la techno sombre et acérée de Dima (aka Vitalic) et pépites émergentes : l’électro gorgée de Méditerranée de Deena Adbelwahed, l’ovni bien barré Ouai Stéphane, ou le son sans concession du Marseillais Zamdane. A Chanot, Marsatac distille une programmation qui va laisser de la gomme sur l’asphalte brûlant ! Des lignes rebelles : le bordel organisé et jubilatoire d’Odezenne, l’art hypnotique de Jon Hopkins, la techno brute de Charlotte De Witte, le rap virtuose de Josman et d’Alpha Wann… Mais aussi des rondeurs impertinentes : la verve rigolarde (mais pas que) de Caballero & JeanJass, les joyeusetés tropicales de Polo & Pan, l’intensité inouïe de Paula Temple, le RnB décalé, féminin et féministe de Juicy, la house disco super fraîche de HAAi... C’est beau comme une Peugeot 80’s qui bouffe du bitume. Coude sur la portière, cheveux au vent. A Marsatac, l’air est ardent, les paysages sonores défilent. Sur son parking géant à ciel ouvert, le festival pose son expérience totale : des concerts dedans, des concerts dehors (jusqu’à 1h du matin cette année), des coins secrets autour d’une caisse superstar. Objet culte, objet de convoitise, aussi. Parce que la 205 Peugeot est le gros lot d’une démente tombola. Le dimanche, sous le soleil exactement, Marsatac sort du weekend en douceur. Un après-midi moite et groovy avec l’afro-électro de l’Ougandaise Kampire, l’éclectisme bluffant de Denis Sulta, le chéri des clubbers de Glasgow, ou la house prodigieuse de Folamour… On coupe le contact, au couchant, à 22 heures. Ce festival-là, on y vient pour trois jours le souffle court et le pied au plancher. Pour ses 21 ans, Marsatac a plus que jamais le goût de la liberté.

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 [2019-02-26] Source : Association Orane  Laure

Cette édition tunée à souhait n’a pas démenti sa promesse d’énergie et de qualité des shows présentés par les 45 formations artistiques, toutes au rendez-vous, absolument toutes !
En haut du podium, l’énorme show du géant Orelsan, visiblement heureux de revenir fouler la scène de Marsatac, restera le moment marquant de cette 21° édition. Son show XXL n’aura pas fait d’ombre à la crème du rap actuel, particulièrement remarqué par les spécialistes du genre parmi lesquels : Alpha Wann, Josman, Caballero & JeanJass, Columbine, S.Pri Noir, sans oublier le local de l’étape Zamdane, recasé le samedi au pied levé.
Oui, il a soufflé un vent chaud sur cette édition, un poil trop à l’ouverture des portes le vendredi, où les éléments se sont déchainés comme pour saluer l’arrivée de la tempête Marsatac sur la ville. Si même le sirocco s’est invité à la fête, il n’aura retardé que de quelques heures le début des hostilités.
Qui sera passé à côté de la 4ème scène du festival ? Assez peu de monde à en juger par la joyeuse excitation des festivaliers qui se sont mêlés au cercle de La Frappe par trois fois chaque soir. Emmené par le parrain et MC Faf Larage, ce collectif 100% rap - 100% Marseille a été la sensation de cette 21° édition. Un projet maison, élevé à l’adrénaline, nourri d’amour. Nul doute que cette première Frappe est le début d’une longue histoire.
Equilibre oblige, la deuxième jambe de Marsatac a elle aussi tapé grave du pied, jusqu’à tard dans la nuit avec l’incroyable live de Jon Hopkins, le set inédit de Carl Craig et Bambounou, et la belle et brute Paula Temple, fidèle à sa réputation. Les plus hédonistes se seront délectés des visuels du duo Polo & Pan et du set de The Blaze pour leur retour sur la grande scène extérieure du festival.
Et les plus créatifs auront pris les manettes de Qu4dr4nt : sound system interactif du collectif marseillais d’architectes sonores Arbuste, pour une expérience inédite.
On retiendra les milliers de sourires de festivaliers conquis par la transformation du Parc Chanot signé de totems « tuning », fumants, vrombissants, coffres ouverts et outrageusement clinquants, faisant de l’œil à la star 205GTI, exhibant sa belle carrosserie aux yeux envieux de tous. Le bolide Marsatac s’est offert au public, et l’on connaitra, le 27 juin prochain, après tirage au sort officiel, l’identité de son futur propriétaire.
C’est sur la plage, dans ce cadre exceptionnel du littoral marseillais, que les milliers de festivaliers sont venus clore cette 21° édition, dans des conditions idéales, au soleil couchant, les pieds dans l’eau et les oreilles bercées des sons de house et disco de la fine fleur du genre. Clap de fin sur le set magique de l’écossais Denis Sulta ! perfect set pour une perfect fin de festival !

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 [2019-06-17] Source : Association Orane  Charles