Stereolux accueillera une exposition nommée “Hyper Nature� : dix-sept installations interrogeant notre rapport à la nature, posant un regard parfois critique, parfois poétique sur une nature fantasmée, transcendée, simulée… Des questionnements prolongés par Les Rendez-vous du Labo sur les liens entre technologies et environnement : comment l’art vient-il questionner cela ? Une installation immersive sera également présentée au Jardin des plantes.

Côté lives, le Warehouse sera l’écrin de quatre soirées de lives audiovisuels et performances - une collaboration encore inédite avec le club electro nantais. Des soirées pensées pour un format assis (dont deux sont à l’étude pour passer en configuration debout), se révélant être l’opportunité de présenter le fruit de croisements entre arts numériques et musiques électroniques opérés par des musiciens, vidéastes, danseurs, scénographes,... Le festival a également le plaisir de renouveler sa collaboration avec l’Université de Nantes pour une soirée de concerts au Pôle Étudiant.

Une nouvelle collaboration également avec le Planétarium, accueillant une création spécialement créée pour dôme.

Et puisque Scopitone se vit dès le plus jeune âge, la génération Alpha pourra elle aussi faire sa plongée dans les cultures numériques à travers des spectacles et activités en famille.

Une édition de Scopitone qui a résolument choisi d’exister, sous toutes ses formes. Un parti pris qui montre une faculté, du festival et des artistes, à s’adapter et à se renouveler en toutes circonstances (et jusqu’au bout !).